Chers visiteurs,
Pour ceux d’entre vous qui ne le sauraient pas déjà, l’Association TeamCopro résulte de la réunion de quatre personnes qui exercent chacune à titre indépendant l’activité de contrôle de comptes et de gestion de copropriétés. Ces quatre personnes ont été salariées entre 2012 et 2018 au sein d’une association au périmètre d’interventions national.
TeamCopro n’est pas seulement une vitrine commerciale grâce à laquelle nous développons notre notoriété et nos activités respectives. C’est aussi en son sein que nous échangeons nos meilleures pratiques et que nous nous entraidons.
A notre échelle et malgré la pandémie, nous pouvons revendiquer quelques beaux résultats récents :
- Nombre d’abonnés à TeamCopro sur LinkedIn en progression constante (350 à ce jour) ;
- Participation de TeamCopro à deux salons professionnels (Solucop en 2019 et Salon de la Copropriété de Paris en novembre 2021) ;
- Animation d’un atelier sur le contrôle des comptes au Salon de la Copropriété de Paris (novembre 2021) ;
- Animation de webinaires relatifs à la comptabilité des copropriétés sur des plateformes associatives ou professionnelles (Monimmeuble.com et Copro Libres) ;
- Référencement de TeamCopro par la ville de Courbevoie, ce qui permet de proposer 2 fois par mois des permanences gratuites ;
- Participation à des appels d’offre en sous-traitance d’opérateurs publics en tant que spécialiste du contrôle des comptes et de la gestion des copropriétés assistées.
Bref nous faisons notre petit bonhomme de chemin.
Nous avons dès lors été quelque peu attristés d’apprendre que notre ancien employeur (il s’agit de l’ARC « Association des Responsables de Copropriété ») avait rédigé un article peu flatteur à notre propos (Attention à la clochardisation de certains anciens salariés qui se revendiquent de l'ARC) … sans nommer TeamCopro (dommage ça nous aurait fait une belle publicité). Car c’est bien de nous qu’il s’agit.
Passé l’instant de surprise où nous n’avions pas l’intention de répondre, il nous est apparu après réflexion que notre silence pourrait être interprété comme une reconnaissance des affirmations et insinuations contenues dans cet article. C’est pourquoi nous nous limitons à quelques précisions factuelles :
- Il est vrai que nous faisons mention de notre statut « d’anciens salariés de l’ARC » car c’est à l’ARC que nous avons appris notre métier (formation payante + stage de validation). Merci encore à Alain et à José, nos deux formateurs principaux à la connaissance encyclopédique ;
- Durant notre passage à l’ARC, la formation continue des contrôleurs était modeste (en moyenne une journée par an). Les contrôleurs s’appuyaient surtout sur le site et les différents ouvrages publiés par l’ARC pour s’autoformer sur leur temps personnel.
- Les membres de TeamCopro n’ont jamais fait croire à leurs prospects et clients qu’ils faisaient toujours partie de l’ARC. Pour autant, nous revendiquons le savoir et les méthodes appris à l’ARC et sans prétention les avoir améliorées pour être au plus près des besoins de nos clients ;
- Oui nous sommes un peu nostalgiques de l’ARC, ou pour le moins d’une époque qui apparaît aujourd’hui bien révolue ;
- L’ancien juriste (par ailleurs responsable du pôle juridique) mentionné dans l’article a suivi la même formation que les autres contrôleurs à l’issue de laquelle il a été intégré dans le pôle des contrôleurs. De par son double cursus, il a donc aujourd’hui des connaissances bien plus étendues qu’un simple contrôleur ;
- Subsidiairement et contrairement à ce qu’affirme le rédacteur de l’article, le relevé général des dépenses est bien un document comptable (extraction de données enregistrées en comptabilité), sa seule particularité étant de ne pas être normalisé par le décret du 14 mars 2005. A contrario, c’est le seul document lisible et compréhensible par tous les copropriétaires, dixit l’ARC.
Malgré ces propos que nous déplorons, nous continuerons de proposer à nos clients et prospects de visiter le site internet de l’ARC (www.arc-copro.fr) voire même d’adhérer en attirant toutefois leur attention sur le fait qu’un certain nombre de publications proposées à la vente sont périmées.